Adepte de nouvelles technologies, je ne peux vivre sans mon téléphone portable. Mais j’ai une excuse : il est nécessaire à l’exercice de ma profession ! Me voilà pardonner pour cet usage excessif. Je l’ai peuplé d’applications en tout genre. Faut bien le rendre plus fun, ce cellulaire ! Et puis, ça occupe les doigts dans les transports, fait non négligeable. Au milieu de la forêt de curiosités se cache… Candy Crush. Vous savez, ce jeu qui rend tout le monde accro (y compris moi) ! Où le but est de faire des combinaisons afin de créer des super bonbons ! Un Tétris amélioré quoi. Bref, le jeu tendance du moment, malgré Pokémon Go (cet espace virtuel dédié aux ados sans cervelle pour devenir le meilleur dresseur).

Vous l’avez compris, Candy Crush est installé sur mon smartphone, et tourne à plein régime. Toute occasion est bonne ! Et à toute heure : le matin, le midi, le soir. Impossible de m’arrêter. Vous me comprenez, n’est-ce pas ? Allez, soyez francs ! Et puis après tout, ce n’est pas une honte de jouer à ça. Sauf quand ledit jeu vous fait rater votre RDV. Le seul RDV qu’il ne fallait pas manquer. Celui où se joue votre avenir. Celui où votre patron vous propose une augmentation, une promotion. Ce matin, j’ai joué à Candy Crush. Je suis arrivée au bureau comme une fleur. Je suis repartie fanée. Sans augmentation. Sans promotion. Virée. Pour manque de conscience professionnelle. A cause de Candy Crush. J’ai désinstallé l’application.

Lily.